Type : | Auteur : Plateforme Pour une autre PAC - Fondation Heinrich Böll | Année : 2018
éthique en AMAP participation à la vie de son territoire agir en réseau, dynamique de mouvement

Au sommaire:

- Avant-propos de Quentin Delachapelle, Jacques Marineau et Jens Altdorf
- 12 brefs enseignements à propos de l'agriculture de l'UE
- Agriculture et alimentation - le modèle français en question
- Budget - France : le premier bénéficiaire
- Paiements directs - un premier pilier mal partagé et mal ciblé
- Développement rural - économie mal choisie
- Zones défavorisées en France -territoires à handicaps naturels
- Fermes - croître ou céder
- Travail agricole - l'angle mort de la PAC
- Foncier  - des terres rares et chères
- Biodiversité - des printemps silencieux ?  
- Pesticides - phosphorer pour moins de chimie
- Bien-être animal - doit mieux faire
- Surfertilisation - l'enjeu vital de la qualité des eaux
- Agriculture biologique - une dynamique à encourager
- Agroécologie - le principe-clé d'une PAC durable
- Santé publique - une alimentation saine dans un environnement sain
- Climat - réduire les émissions pour protéger l'agriculture
- Marchés mondiaux - commerce sans souveraineté

Auteur de la ressource

Plateforme Pour une autre PAC - Fondation Heinrich Böll

La plateforme « Pour une autre PAC » est un collectif français de 36 organisations constituant un espace commun de réflexion et d'action, en vue de la refonte de la politique agricole commune (PAC).  L'association Heinrich-Böll-Stiftung France est un centre de réflexion sur l'écologie, la durabilité, la démocratie, les droits de l'homme et la lutte contre toutes les formes de discrimination. Elle soutient une coopération internationale juste et s'engage en faveur de l'intégration européenne.

L'atlas a été rédigé par un collectif d'expert-e-s de l'agriculture.


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Proposé par le contributeur

Nom :
Evelyne Boulongne
Structure :
Réseau AMAP Ile de France
Liens :
Site web
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Pourquoi j’ai envie de partager cette ressource :

La Pac, ça nous impacte dans tous les domaines de notre vie quotidienne. Pendant que nous multiplions les AMAP sur tous les territoires, chaque contribuable européen paye 114€ pour une PAC qui sert principalement les grandes exploitations intensives, exportatrices et polluantes. Cet argent public devrait servir l’intérêt général et répondre aux attentes des citoyens. Les évolutions du modèle agricole ne concerne pas seulement les agriculteurs, elles nous concernent toutes et tous. Ce n’est pas l’affaire non plus des « experts » mais de nous tous. Parlons de la PAC dans nos AMAP, interpellons les politiques, continuons à changer et à faire changer notre agriculture et notre alimentation, ramenons les coquelicots, les insectes et les oiseaux dans les champs.